Tous les exemples utilisent httpie et jq pour faciliter la lisibilité. Vous n’êtes pas contraint d’utiliser ces bibliothèques pour votre code, ce sont juste des outils pour mieux comprendre l’API.
Une fois httpie installé, vous pouvez vérifier qu’il fonctionne comme convenu en tapant cette commande dans votre terminal :
Cela doit retourner une réponse de ce style :
C’est très verbeux et nous n’avons pas besoin de toute cette information pour l’instant. C’est la raison pour laquelle nous utilisons jq.
Une fois jq installé, vous pouvez vérifier qu’il fonctionne en tapant cette commande dans votre terminal :
Cela doit retourner une réponse de ce style :
C’est bien mieux ! Maintenant que tout fonctionne bien, réduisons un peu la taille de notre ligne de commande :
La commande précédente est maintenant équivalente à la commande plus lisible (ne pas oublier les apostrophes) :
C’est un bon début, maintenant plongeons dans l’API en elle-même. Nous ne le savons pas encore mais nous avons déjà récupéré notre première organisation.
Vous pouvez récupérer une liste d’organisations (filtrée ou non) ou une organisation unitaire. Lorsque vous récupérez un point d’accès, le nombre d’éléments par page par défaut est de 20. Récupérons les 20 premières organisations via l’API :
C’est une bonne chose d’avoir cette liste mais que se passe-t-il si nous souhaitons parcourir les organisations retournées ? Récupérons les 5 premières URI d’organisations.
Maintenant, nous sommes capables de récupérer une organisation seulement via l’URI retournée.
Cela fait beaucoup de données à parcourir. Affinons ces données, si nous voulons seulement extraire les métriques :
Ou peut-être juste le nom des membres de cette organisation :
Il est vraiment de votre ressort de récupérer les données pertinentes pour votre projet. N’hésitez pas à consulter le tutoriel de jq et son manuel si vous voulez parcourir l’API via la ligne de commande plus en détail.
Attention, vous entrez dans une zone de danger. Les modifications et suppressions de données via l’API sont définitives et nous ne proposons pas de bac à sable pour faire des tests avant de les exécuter (pour l’instant). Soyez conscient de ces responsabilités avant d’utiliser vos super pouvoirs.
Si vous tentez de modifier une ressource sans le token d’authentification, une erreur 401 sera renvoyée :
Vous devez spécifier votre Clé d’API (voir ci-dessus) et utiliser le header HTTP X-API-KEY
. Si vous tentez de modifier une ressource que vous ne contrôlez pas, une erreur 400 sera retournée :
C’est le message que vous obtiendrez si vous avez spécifié une mauvaise clé d’API. C’est un autre message d’erreur potentiel que vous pouvez rencontrer.
Cela arrive si vous essayez d’accéder à une ressource que vous ne pouvez éditer avec vos accréditations. Si votre clé est valide vous devriez obtenir quelque chose comme ça:
Mais ça ne change pas tout ! C’est parfaitement normal, nous avons oublié de spécifier la bonne donnée à envoyer au serveur.
La ressource a été modifiée avec vos nouvelles valeurs. Finalement, vous pouvez supprimer une ressource avec le verbe HTTP approprié (attention, aucun retour arrière n’est possible en utilisant l’API pour le moment):
Une fois effectué, vous pouvez vérifier que c’est effectif en envoyant un GET sur l’URL précédente: