Déploiement du standard
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L’accompagnement au déploiement n’est pas nécessairement du ressort du groupe de travail d’élaboration du standard, il est parfois pris en charge par le CNIG.
L’accompagnement au déploiement est important mais n’est pas du ressort du groupe de travail d’élaboration du standard. Néanmoins, les membres du GT ayant généralement tout intérêt à poursuivre les efforts lors du déploiement, voici quelques pistes de réponses aux questions que vous pourriez vous poser :
Pourquoi ?
Le déploiement du standard est essentiel à son appropriation par l’ensemble des producteurs de données. Tous n’ayant pas participé au GT, l’accompagnement à sa compréhension et à sa prise en main sont nécessaires à son utilisation. Il s’agit aussi de mobiliser plus largement sur les enjeux portés par une politique publique lors de cette phase.
A cette étape, les services de communication des entités portant le standard peuvent être contactées pour établir une stratégie de diffusion.
Quand ?
Le déploiement peut être initié avant la validation du standard, pour susciter l’intérêt, bénéficier de la visibilité donnée par l’adoption en conseil plénier, et se laisser le temps de planifier une stratégie de communication. Il peut être bénéfique d’attendre le référencement du schéma et la publication de l’ensemble des documents utiles à son utilisation.
Pour qui ?
Le déploiement doit viser l’ensemble des acteurs concernés :
Avec qui ?
La communauté d’acteurs impliqués dans le GT doit être mobilisée en premier lieu. Le CNIG peut également venir en aide grâce à ses outils de communication, ou grâce à son lien avec les territoires. Le peut être contacté à cet effet.
Une fois les acteurs identifiés, un groupe de travail dédié à l’accompagnement peut être constitué.
Comment ?
Plusieurs moyens d’actions s’offrent à vous :
Avec quel budget ?
La question du budget peut être un obstacle lors de cette phase, il faut généralement prévoir le coûts liés à :
- l’ingénierie interne lié à l’hébergement des données, outils et supports liés à la thématique,
- la publication dans des revues spécialisées parfois payantes,
- l’animation de sessions, ateliers, etc.,
- la formation de l’animateur pour le déploiement s’il ne dispose pas de compétences en géomatique ou au domaine métier, qui lui seraient nécessaires pour le déploiement.
Le pilote peut :
S'assurer qu'il y a une assistance utilisateurs.
Faire des recommandations pour le déploiement.
Alerter le commanditaire sur les conditions et modalités de déploiement du standard.
La commission des standards du CNIG pourrait faire régulièrement une revue des standards, assortie d'éventuelles recommandations.
Afin d’évaluer l’adoption d’un standard, plusieurs bonnes pratiques existent :
Utiliser les outils de référencement de la DINUM :
schéma.data.gouv pour le standard ce qui permet d’y faire référence lorsque des données s’y conforment (ce référencement est obligatoire),
data.gouv pour les données conformes au standard.
Lorsque le groupe de travail sur le déploiement, le commanditaire, la communauté d’utilisateurs ou tout autre usager du standard identifie un besoin d’évolution, une demande d’évolution peut être proposée.
Pour identifier quand une évolution est nécessaire, il est utile d’assurer une veille sur les technologies employées (stockage et traitement des données) et sur les autres standards de données du même écosystème ou du CNIG.
[en construction]
La procédure pour faire évoluer un standard est similaire à celle pour la création d'un nouveau standard. Elle est décrite dans la page "", où il est indiqué de contacter le secrétariat général du CNIG par message sur la du site du CNIG ou à . Il peut également être utile de contacter les rédacteurs du standard en question (leurs organismes d'appartenance, a minima, et parfois leurs noms, sont indiqués dans le standard lui-même).
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