Glossaire de la Fabrique des standards
Dernière mise à jour
Cet article vous a-t-il été utile ?
Dernière mise à jour
Cet article vous a-t-il été utile ?
Ce glossaire précise les termes spécifiques à la Fabrique des standards. Il complète les , ainsi que celles liées à l'univers de l'open data du de la DINUM.
L’animateur a les missions suivantes :
Gérer la liste des participants au GT,
Organiser les réunions : fixer les dates, lieux (lien visio), et l’ordre du jour,
Animer les réunions, organiser les travaux,
Rédiger et diffuser les compte-rendus,
Organiser avec le secrétariat général la communication autour du GT,
Alerter le secrétariat général en cas de difficulté.
Il est recommandé de prévoir un binôme d’animateurs, en particulier "numérique" et "métier" lorsque les deux compétences ne sont pas maîtrisées par la même personne. Le secrétariat général peut apporter son soutien aux animateurs pour certaines actions et tout au long des travaux du GT.
Le participant s’engage à prendre part aux travaux en assistant a minima aux réunions organisées par le GT. Il est attendu qu’il ou elle apporte son expertise à l’oral lors des réunions, ou sur les livrables (par la rédaction, la relecture, les suggestions,etc.) dans la mesure de sa disponibilité.
Son activité est volontaire, elle requiert l'accord de son organisme notamment parce qu'elle n'est pas rétribuée.
L’objectif du pilote est de mener à bien la production du standard, dans le délai prévu, en s’assurant :
De la composition et de la bonne participation des différentes parties prenantes au GT,
Du respect des procédures de la Fabrique de standards.
Le pilote peut être animateur du Groupe de travail, ou confier l’animation à un ou des animateurs.
D’une manière générale, un standard de données est une exigence qui est destinée à établir une compréhension commune de la sémantique des données entre producteurs et utilisateurs, afin d'en assurer la qualité et l’interopérabilité. Appliquer un standard peut permettre en pratique de mettre en commun des données provenant de différentes sources, de répliquer un projet d’une base de données à l’autre, ou encore d’uniformiser les méthodes de collecte des données.
Toutefois, il n’existe pas de règle précisant le formalisme ou le périmètre des standards de données, le terme peut ainsi désigner des documents relativement différents en pratique. Ce qui est entendu dépend généralement de l’émetteur du standard (CNIG, ISO, W3C, etc.), des données sur lesquelles il porte (relevés scientifiques, éléments du paysage, typologie de documents, pathologies médicales, etc.), ou encore des pratiques du domaine (techniques et outils comme le langage informatique utilisé, méthodologie de travail, pratiques en sources ouvertes, etc.).